Le PSG vient de boucler l’opération la plus juteuse de son histoire avec la vente de Xavi Simons au RB Leipzig. Un transfert à 80 millions d’euros qui fait halluciner le marché des transferts et le club parisien également. Explication.
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Ce dossier n’était pas vraiment prévu au programme du mercato d’hiver parisien. Mais lorsque le RB Leipzig est arrivé avec une offre de 50 millions d’euros, et 30 millions d’euros de bonus facilement atteignables (+ un pourcentage à la revente !), le PSG n’a pas réfléchi à deux fois. Le milieu de terrain néerlandais Xavi Simons, prêté à Leipzig pour la deuxième saison consécutive, est donc transféré pour 80 millions d’euros. Une opération éclatante à bien des égards !
11 matchs, 80 millions d’euros !
Pour rappel, Xavi Simons est arrivé libre de tout contrat au PSG, en 2019. C’est donc une plus-value record que s’offre le board parisien dans cette opération… Plus fort encore, le ratio du milieu de terrain néerlandais. Simons a porté le maillot parisien à 11 reprises. Avec un transfert à 80 millions d’euros, plus les 4 millions d’euros de son prêt payant au PSV Eindhoven, cela fait 84 millions d’euros dans les caisses du club, soit un ratio de 7,6 millions d’euros par match disputés avec Paris. Seul Neymar fait « mieux » dans sa récente aventure saoudienne…
🔴🔵 La vente de Xavi Simons est une très belle opération de la direction parisienne. Personne n’est irremplaçable et la somme atténue la frustration de ne pas l’avoir vu.
— Romain Beddouk (@RomainBeddouk) January 31, 2025
Et puis enfin un transfert sans drame. Nasser apprécie Simons et a facilité le deal.pic.twitter.com/SeQ5DjMBfn
Un budget pour investir en dernière minute ?
Après avoir extrêmement bien vendu Xavi Simons, le PSG dispose de moyens financiers pour se faire plaisir. Luis Enrique et Luis Campos vont-ils créer la sensation d’ici le 3 février ? A priori… non ! L’entraîneur espagnol a misé sur Khvicha Kvaratskhelia, en provenance de Naples, et ne semble pas vouloir perturber son effectif avec une autre arrivée imposante. Même en défense, où Milan Skriniar est parti, Paris ne compte pas bouger.