Humilié par l’OM, son calvaire pourrait reprendre de plus belle !

Les hasards de la vie ont remis l’OM sur le chemin de Marcelino, quelques mois seulement après son départ catastrophe de Marseille. Et après un match aller aux allures de punition, l’Espagnol n’est peut-être pas au bout de ses surprises…

Humilié par l’OM, son calvaire pourrait reprendre de plus belle !

En prenant les rênes de l’OM le 23 juin 2023, Marcelino ne s’attendait certainement pas à faire ses valises trois mois plus tard. Le technicien espagnol a en effet préféré partir suite à plusieurs mouvements « musclés » de la part de groupes de supporters, mécontents de la gestion du club et des prestations de l’équipe. Heureux hasard, six mois plus tard, l’OM et Marcelino se sont à nouveau croisés sur le chemin de l’Europa League. Des retrouvailles cauchemardesques pour le coach de Villarreal…

L’OM veut enfoncer le clou

Ce retour au stade Vélodrome a été un véritable enfer pour Marcelino… Sur le terrain, ses hommes sont totalement passés à côté et se sont faits balayer par la bande à Aubameyang, en feu. Un score sans appel de 4 buts à 0, qui laisse peu de place aux doutes quant à la qualification des Marseillais pour les quarts de finale. Pour autant, le « match » n’est pas terminé entre l’OM et Marcelino. Les Olympiens ont à cœur d’enfoncer le clou et de régler ses comptes avec l’entraîneur espagnol.

Rester sur le même nuage

Marcelino croit au miracle pour le match retour de ce jeudi : « Nous allons profiter de ce match, de cette troisième victoire consécutive en Liga. Nous devons rassembler notre courage pour le match de jeudi. Nous voulons donner au moins une victoire à nos supporters et nous ne voulons pas dire au revoir à cette compétition avec un mauvais sentiment ». Mais du côté de Jean-Louis Gasset, et surtout des supporters, ce match retour est une nouvelle occasion de répondre à Marcelino. Le calvaire de l’Espagnol n’est pas terminé, surtout si les Marseillais parviennent à rester sur leur nuage du mois écoulé. Celui où ils marquent 4 buts par match et où rien ne peut les arrêter. Reproduire la performance de l’aller avec une victoire sèche et un clean-sheet serait une délicieuse manière de dire au revoir, définitivement, au démissionnaire Marcelino…

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