Le PSG est dans une situation inédite depuis l’arrivée des Qataris, en 2011. En Ligue 1 comme en Ligue des Champions, le collectif parisien montre des difficultés. Et le calendrier qui se présente pourrait faire très mal au projet de Luis Enrique.
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Luis Enrique a signé au PSG pour construire un nouveau projet. Pour la première fois, les Qataris acceptent de laisser du temps à un entraîneur pour bâtir une équipe, sur plusieurs années. C’est la raison pour laquelle le technicien espagnol va prolonger son contrat, Doha lui fait entière confiance pour les années à venir. Sauf que la saison 2024-2025 pourrait vite tourner à la catastrophe pour Paris…
L’OM, le piège parfait
Leader de Ligue 1, le PSG n’a toujours pas connu la défaite cette saison. Six victoires, deux nuls et 25 buts marqués. Les feux sont principalement au vert dans un championnat dominé, pour le moment, de la tête et des épaules. Sauf que ces dernières semaines, le PSG affiche des manques inquiétants. Derrière et devant, Luis Enrique ne parvient pas à trouver des solutions pérennes. Et à l’abord d’un Classico que tous les Marseillais attendent avec impatience, l’inquiétude prend une nouvelle tournure. En Ligue 1, l’OM semble en effet clairement armé pour joueur le titre. Sans Coupe d’Europe, la bande à Roberto De Zerbi veut faire tomber Paris. Et l’AS Monaco, impressionnante elle-aussi, sera aussi un sacré client. Perdre ce dimanche contre l’OM pourrait être le début d’un scénario catastrophe pour le PSG.
En Ligue des Champions, ça ne sent pas bon
Timide vainqueur de Gerone (1-0) pour sa première en Ligue des Champions, le PSG n’a plus gagné depuis deux rencontres. Dans la nouvelle formule de la compétition, les choses peuvent vite mal tourner. Et dans un calendrier où Paris va affronter l’Atletico de Madrid, le Bayern Munich, Salzbourg et Manchester City, comment ne pas craindre le pire, à savoir l’élimination des premiers tours ? Entre une Ligue 1 plus que concurrentielle et un démarrage dangereux en Ligue des Champions, le PSG peut clairement tout perdre. Une saison blanche pour fêter la prolongation de Luis Enrique, ça ferait mauvais genre…